Aujourd'hui, plus de 500 000 personnes sont atteintes de cette maladie auto-immune qui touche le système reproductif. Cette maladie est la conséquence d'une stimulation excessive de certaines cellules de l'organisme. Elle est due à un dérèglement de l'ovulation et entraîne des conséquences très graves sur le foie et les organes reproducteurs.
Cet article a été publié par 22 mai 2019
Un nouveau médicament contre l'endométriose
Pourquoi l'endométriose est-elle un problème de santé publique ?
Endométriose : la France manque de données statistiques (lien externe)
Le rôle des hormones
Le problème de l'endométriose est sa fréquence. 5 millions de personnes en sont atteintes et 1,5 millions de femmes vivent avec. Il faut dire que la maladie est mal connue et que les traitements restent inadaptés.
Il faut noter que les femmes souffrent de douleurs plus sévères que les hommes. En fait, l'endométriose touche 10 à 20 % des femmes en âge de procréer. L'endométriose est une maladie chronique qui évolue dans le temps mais dont les symptômes peuvent apparaître dès la puberté.
Comment se développe l'endométriose ?
Le cycle de la femme se décompose en 2 phases :
- Une phase fertile, qui correspond à l'ovulation, durant laquelle les cellules de l'endomètre s'implantent dans la cavité utérine (l'endomètre).
Quels sont les symptômes de l'endométriose ?
Le principal symptôme de l'endométriose est une douleur à type de brûlure, de fourmillement, de tiraillement. Elle est localisée dans le bas ventre et s'accompagne de troubles digestifs (faiblesse ou absence des règles). On note également une fatigabilité, une prise de poids, des troubles de la libido et de la lubrification. Les douleurs liées à l'endométriose sont très variables d'un patient à l'autre, d'un cycle à l'autre.
Quels sont les facteurs favorisant l'endométriose ?
A l'origine de l'endométriose, on trouve un déséquilibre hormonal, associé à des facteurs immunitaires et environnementaux. Les femmes qui souffrent d'endométriose ont un cycle hormonal très irrégulier : leur ovulation est retardée. Les ovules ne sont pas produits de façon équilibrée.
Quelle est la gravité de l'endométriose ?
L'endométriose est une maladie chronique dont les complications sont fréquentes et qui peut conduire à la stérilité et au décès.
Quelles sont les causes de l'endométriose ?
Les causes exactes de l'endométriose restent encore indéterminées. L'association de plusieurs facteurs favorise son développement, dont la génétique et les infections chroniques.
Que faut-il faire pour soulager les douleurs liées à l'endométriose ?
Chez la femme souffrant de la maladie de l'endométriose, il faut limiter les facteurs aggravants pour diminuer la douleur :
- Ne pas fumer.
- Boire de l'alcool. En fait, l'alcool empêche le corps de se débarrasser de l'excès de cortisol, une hormone produite en réaction à une infection.
- Pratiquer une activité physique régulière.
- S'abstenir de boire de l'alcool ou de fumer.
Quels sont les traitements de l'endométriose ?
Il existe plusieurs traitements pour soulager les douleurs. Les effets sont variables d'un patient à l'autre. Certains patients se tournent vers des traitements hormonaux et d'autres optent pour un traitement chirurgical.
Les traitements de l'endométriose
Ils visent à réduire les symptômes de la maladie et à limiter les lésions.
- Les anti-inflammatoires non stéroïdiens. Ces médicaments ne font qu'augmenter les lésions de l'endométriose.
- Les anti-corps. Cette thérapie vise à empêcher la production de lésions en bloquant les enzymes responsables de leur formation.
Les traitements hormonaux
Ce type de traitement vise à diminuer l'inflammation et à améliorer la qualité de la muqueuse utérine. Ce type de traitement est utilisé pour les symptômes légers et les douleurs modérées.
En fait, il existe différents types de médicaments :
- Les œstrogènes : ils sont utilisés pour traiter les symptômes légers de l'endométriose.
- Les progestatifs : ils sont utilisés pour traiter les symptômes modérés et les douleurs sévères.
Ils peuvent être utilisés pour une durée limitée ou pour une plus longue durée.
Les traitements chirurgicaux
La chirurgie est un traitement très efficace pour soulager les symptômes de l'endométriose. Elle permet de réparer les lésions et de permettre une bonne irrigation de la muqueuse.
Les autres traitements possibles
Les médicaments sont efficaces pour soulager les symptômes mais ils ne sont pas toujours efficaces. Une combinaison de plusieurs traitements peut être nécessaire pour lutter contre la maladie.
Il faut noter que certains symptômes sont liés à d'autres maladies et qu'une consultation chez un spécialiste peut être nécessaire.
Avant de prendre un traitement, il est indispensable de réaliser un bilan médical complet
Une consultation médicale est indispensable pour établir un diagnostic correct et déterminer le traitement le plus adapté. Les médecins peuvent prescrire différents médicaments pour réduire les douleurs et atténuer l'inflammation.
Enfin, un bilan complet doit être réalisé pour rechercher les éventuelles complications.
Pourquoi l'endométriose est un problème de santé publique ?
L'endométriose est une maladie fréquente chez la femme qui touche plus de 10 millions de personnes dans le monde. Elle affecte la fertilité et peut être responsable d'infertilité. Les femmes qui souffrent d'endométriose sont parfois contraintes d'arrêter de procréer car elles ne sont pas aptes à concevoir un enfant en raison des lésions de l'endomètre.
Les traitements de l'endométriose visent à soulager les symptômes de la maladie mais ils ne sont pas suffisants. Une recherche est nécessaire pour comprendre les mécanismes de l'endométriose et ainsi trouver de nouvelles solutions pour la soigner.
Il est important de savoir que l'endométriose est une maladie chronique. En fait, elle se développe progressivement.
L'endométriose, une maladie chronique qui touche le système reproducteur
L'endométriose est une maladie chronique qui touche 10 millions de femmes dans le monde dont 1,5 million de femmes en âge de procréer. La maladie est due à une stimulation excessive des cellules de l'organisme.
Cette maladie est une conséquence de la modification du cycle menstruel qui se produit durant la phase de l'ovulation. La femme ne produit plus d'ovocyte qui est alors expulsé de l'ovaire. En revanche, l'endomètre continue à se développer. La muqueuse utérine est alors rejetée à l'extérieur de l'utérus sous forme d'endomètre. L'endomètre est ainsi remplacé par un tissu identique à la muqueuse utérine.
Les symptômes de l'endométriose sont très variables d'un patient à l'autre. Ils peuvent apparaître dès la puberté et se prolonger jusqu'à la ménopause. Dans 50% des cas, les symptômes se manifestent à la ménopause.
Quels sont les facteurs favorisants l'endométriose ?
Les facteurs favorisants sont :
- La prise de contraceptifs oraux ;
- Un taux élevé d'oestrogènes.
- Des lésions au niveau de l'utérus.
- Des infections chroniques ou récurrentes.
Les femmes souffrant d'endométriose sont souvent touchées par les infections chroniques, notamment les infections urinaires, les infections des voies génitales et les infections sexuellement transmissibles.
Général
Le traitement par Sildenafil Sandoz contient du riociguat (Aerius®, Genérico Rocicuato®).
Il peut être nécessaire de réduire la dose de Sildenafil Sandoz ou de le réduire davantage en cas d’insuffisance cardiaque. Si vous avez des problèmes cardiaques, vous ne devez pas prendre Sildenafil Sandoz.
Veuillez indiquer à votre médecin ou à votre pharmacien si vous avez des problèmes cardiaques, tels que :
- une hypertension artérielle (une pression artérielle élevée dans les artères de votre cœur),
- une insuffisance cardiaque,
- une pression artérielle basse (hypotension),
- des problèmes de rythme cardiaque,
- une faiblesse ou des douleurs dans la poitrine,
- un blocage ou un manque de circulation sanguine dans une partie du corps,
- des problèmes au niveau de vos reins,
- une maladie des reins ou de la vésicule biliaire.
Attention : ce médicament contient un ingrédient actif qui peut entraîner une vision floue lors de l’utilisation du véhicule.
Interactions
Informez votre médecin si vous prenez l’un des médicaments suivants ou si vous prenez tout autre médicament.
- Anticoagulants, comme la warfarine (Coumadin®, Warfarina®), ou des médicaments qui en contiennent, comme par exemple le clopidogrel (Plavix®) ou le prasugrel (Effient®)
- Amiodarone, antiarythmiques
- Bêtabloquants (Sibutral®, Sibutril®
- Corticostéroïdes, corticothérapie
- Inhibiteurs de l’enzyme de conversion de l’angiotensine
- Inhibiteurs de la protéase du VIH (par ex. Atriaxone®, Atripla®)
- Inhibiteurs des phosphodiestérases (par ex. Indinavir®, Kaletra®, Lopinavir®, Ritonavir®, Veltamatin®)
- Inhibiteurs de la protéase du VIH
- Inhibiteurs sélectifs des récepteurs de l’angiotensine II
- Inhibiteurs du CYP2C9
- Inhibiteurs du CYP2C19
- Inhibiteurs du CYP3A4
- Inhibiteurs de l’iso-enzyme 3A4 (par ex. Diltiazem, Nifedipine, Rilpivirine)
- Inhibiteurs du CYP2D6
- Inhibiteurs sélectifs des récepteurs de la sérotonine
- Médicaments pour le traitement de la maladie de Parkinson (Miglustat®, Lurasidone®, Lurasidone-HCL®, Tasmar®, Mirabégon®
- Médicaments contre le diabète (par ex. Glulisine®, Insuline lispro®, Sulfonylurée)
- Médicaments contre la thrombose (par ex. Plavix®, Efient®)
- Médicaments contre la migraine (par ex.